Chronologie de l’enigme du razes

L’énigme du Razès (dite de Rennes-le-Château) n’est que l’épicentre d’un immense secret trouvant ses origines dans les temps les plus reculés.
Ce secret remonte au temps des bâtisseurs des mégalithes qui ont peuplé d’immenses territoires il y a près de 7000 ans avant Jésus Christ et qui possédaient de très grandes connaissances astronomiques et mathématiques.
Ils sont à l’origine d’un immense temple à ciel ouvert, une construction virtuelle, une cité de verre invisible à l’œil nu, protégée pour l’éternité de la perversion des hommes. C’est cette cité secrète que Jésus Barabbas dit le Christ, libéré puis banni par Pilate s’appropriera plusieurs milliers d’années plus tard en la nommant la Nouvelle Jérusalem dans APOCALYPSE
A côté et dans le prolongement de cette cité existe un temple souterrain datant d’avant la Grande Inondation et situé près du village d’Arques dont l’étymologie du nom (arcas) laisse présager l’existence de grandes cavernes.
– Des milliers d’années plus tard, la civilisation égyptienne est passée, allant d’un âge d’or primordial à une lente décadence. Les égyptiens détenaient des secrets ancestraux et technologiques dans la pyramide de Chéops dont une partie fut volée avec un coffre fort (l’Arche).
– Vers 700 avant JC., le royaume d’Israël est détruit par les Assyriens et en 587 av. JC., les Babyloniens occupent le royaume de Juda (capitale Jérusalem). Le temple de Salomon est détruit et une partie de la population emmenée en captivité à Babylone. Avant l’arrivée des envahisseurs, l’Arche et le mobilier sacré du temple sont cachés (sous le mont Nebo selon Jérémie et sous le Saint des Saints selon la « vision de Baruch »).
– En – 533 av. JC le perse Cyrus-le-Grand conquiert le royaume de Babylone et autorise les Hébreux à retourner dans le royaume de Juda; des objets de culte leur sont rendus et ils sont autorisés à construire un deuxième temple appelé temple de Zorobabel. Ce temple contient une copie du mobilier sacré et l’Arche d’Alliance en est absente.
– Puis viennent les Grecs (Alexandre le Grand) et enfin les Romains qui mettent sur le trône un roi descendant d’Ismaël.
Les Juifs dont la religion se distingue des autres par le monothéisme et le prosélytisme ne supportent pas l’occupation romaine et plusieurs de leurs sectes attendent la venue de DEUX MESSIES, un Messie royal d’origine davidique qui libérera le Pays et un Messie sacerdotal vertueux et pacifique. Ces deux Messies sont opposés mais COMPLEMENTAIRES.
La période est trouble, menaces d’insurrection contre les Romains, menace de guerre civile entre Juifs et la nombreuse communauté de culture grecque, opposition entre les descendants de David et ceux d’Hérode le Grand, dissensions entre collaborateurs et résistants.
Les manuscrits de Qmran (rouleaux de la mer morte) font état des DEUX MESSIES :
1° Le Messie de VERTU et de PAIX (Luc 1.79) fut incarné par Jean dit le Baptiste et explicité dans l’évangile de Luc dans le Cantique de Zacharie qui commence en Luc 1(68) contenant les chiffres 1,6,8 récurrents dans l’énigme dite de RLC.
« Béni soit le Seigneur, le Dieu d’Israël, de ce qu’il a visité et racheté son peuple,
Et nous a suscité un puissant Sauveur dans la maison de David son serviteur,
Comme il l’avait annoncé par la bouche de ses saints prophètes des temps anciens. »
Luc 1(68,69,70).

TOUT EST DIT ICI
Le troisième verset 1.70 fait état de l’annonce d’un Messie
Le deuxième verset définit le Messie (Sauveur est la traduction de Jésus) et rappelle sa filiation davidique qui est indispensable. Et il s’agit bien du Jésus d’origine sacerdotale par son père Zacharie et davidique par sa mère.
Le futur REDEMPTEUR est annoncé plus loin en Luc 1(77):
« Afin de donner à son peuple la connaissance du salut par le pardon de ses péchés ».

2° Le Messie royal (appelé Jésus dans les évangiles) est « l’épée » attendue pour libérer son pays de l’occupation étrangère (ici, romaine)
« De Juda sortira la pierre de l’angle, le piquet de la tente, l’arc de la guerre… » Zacharie 10(4)
Il est l’épée :
« Il a déployé la force de son bras » Luc 1.51
 » Elle louait Dieu (la prophètesse Anne) et elle parlait de Jésus à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem » Luc 2(38)

NOUS AVONS NOTE ICI
Le Messie représentant la PAIX et Luc 1.69
Le Messie représentant l’Epée et Luc 1.51
Depuis 2000 ans de nombreuses hypothèses ont prospéré mettant en doute la résurrection de Jésus, d’autres envisageant une substitution.
Mais la réalité que comprenaient les érudits des premiers siècles qui dénonçaient les incohérences du récit biblique et l’imposture de la fausse résurrection est très simple.
Il s’agit, malgré les mensonges et les falsifications successives qui ont duré jusqu’à la fin du quatrième siècle, de résoudre à partir d’un récit RECOMPOSE une simple énigme policière… dont la clef réside dans l’existence de 2 MESSIES, 2 JESUS.
Il suffit pour y penser de savoir que les anciens évangiles de MATTHIEU citent Jésus Barabbas (le mot Jésus a été plus tard supprimé) et que Barabbas est du grec provenant de l’araméen bar abba = fils du père (géniteur) à comparer avec le Jésus des évangiles qui se déclare fils du Père (céleste).
Un hasard (2 Jésus) au moment clef du christianisme, c’est extraordinaire, deux hasards (tous 2 fils du Père) c’est impossible.

Je me suis intéressé à l’étude du Nouveau Testament pour tenter de comprendre pourquoi TOUT m’indiquait la présence du tombeau du Christ dans le Razès. Son tombeau y avait-il été ramené ou bien y était-il arrivé VIVANT et dans ce dernier cas, avait-il été ou non crucifié ce qui induisait deux hypothèses: survie ou substitution (j’éliminai la résurrection)
NOTONS que j’étais déjà confirmé de la présence de 2 Jésus dans l’église de RLC par ma découverte de la « Doctrine des 2 Messies » et par la station XIV du chemin de croix qui montre une blessure du mauvais côté, suggérant d’inverser le tableau et de lire VIX (qui signifie VIVANT) au lieu de XIV. Ma résolution des codages du Titulus de Rome ( 5ème siècle) et de celui de Saint Sulpice (Signol) qui affirment que le Christ est double et que le Nazöréen est VIVANT achevèrent de me convaincre.
C’est donc dans cette direction que s’orientèrent mes recherches et que je découvris l’habileté de la substitution effectuée par Pilate…
– Le prisonnier Jésus Barabbas qui désigne en fait l’Epée était le Sauveur LIBERATEUR de son vrai nom Jésus bar Juda, fils de Juda de Gamala, fils d’Ezéchias.
La condamnation du Titulus (Jésus le Nazöréen Roi des Juifs) le désigne mais il fut libéré par Pilate et il a assisté à la crucifixion d’un autre ainsi qu’il est affirmé dans les Actes de Jean (Apocryphe trouvé à Nag Hamadi).
– Le crucifié (REDEMPTEUR) fut Jean dit le Baptiste qui désigne la PAIX et il mourut sur la croix sous l’identité du roi des Juifs. Son corps fut volé et emmené en Samarie à Makron près de Sébaste, où il fut adoré par ses disciples jusqu’en l’an 362 en tant que Christ et Messie.
Jésus Barabbas, libéré par Pilate, fut banni par ce dernier et se présenta devant ses disciples le troisième jour en montrant qu’il était VIVANT; ces derniers qui n’avaient pas assisté à la crucifixion (hommes en fuite et femmes tenues dans l’éloignement) ignoraient que ce n’était pas lui qui avait été crucifié puisque le Titulus disait le contraire et crurent à sa résurrection…

CECI EST LA PREMIERE IMPOSTURE
L’Epée est VIVANT
La PAIX est devenue le MORT
Nous retrouvons le code MORT/Epée de la stèle de Marie de Nègre d’Ablès et les lettres ORT provenant d’une substitution s’appliquent au substitué…

TROISIEME PARTIE : LA MEMOIRE EFFACEE
QUATRIEME PARTIE: LA CREATION DU MYTHE
CINQUIEME PARTIE : LE ROYAUME WISIGOTH
SIXIEME PARTIE: AVATARS
SEPTIEME PARTIE : L’AN MILLE

TREIZIEME SIECLE: L’ECRITURE D.M.
– Au début du 13ème siècle, les Cathares détiennent le tombeau du REDEMPTEUR, dans le Razès, à Saint Salvayre qui est le MontSalvat décrit dans un conte du Graal. Ils sont également en possession d’un exemplaire très ancien du quatrième évangile (Selon Saint Jean) qui décrit Jean le Baptiste comme le crucifié de Pilate; le prologue est très différent, Jean n’annonçant pas la venue du Christ (c’est lui) mais de Dieu.
– En 1208, l’année précédent le début de la croisade contre les Albigeois (Cathares), les Templiers achèvent la construction d’un caveau inexpugnable sous le mont Cardou pour y cacher (car sa découverte remettrait en cause le Christianisme) le tombeau de Jésus Barabbas, le LIBERATEUR.
Ce tombeau est sur le même méridien que l’ancien tombeau situé sous le Serbairou (Cerbère ?) dont l’entrée était située près du Dé.
– L’Arche d’Alliance et le mobilier sacré (table des pains de Proposition et Menorah) ornent dans l’ancien temple ANTEDILUVIEN situé sous le mont Aiguille, un nouveau Temple identique à celui de Salomon.

– Les Cathares confient le tombeau du REDEMPTEUR aux Templiers LOCAUX en raison des liens familiaux qui les rapprochent et le tombeau est déplacé du rocher de l’AIGLE (St Jean ?) à SERRES. Lors de la capitulation de Montségur en 1244 l’évangile sacré des Cathares est mis à l’abri et le Seigneur de Peyrolles sert d’intermédiaire aux pourparlers.
– Les TROIS emplacements obéissent aux règles de la géométrie sacrée et à un système de géo-localisation, simple, ingénieux et secret (les coordonnées polaires) dont « l’ESCRITURE D.M. » est une variante particulière. Le menhir de Serres qui est révélateur et trahirait la proximité du tombeau des 2 Jésus est détruit.
– Les Templiers LOCAUX qui ont caché à côté du tombeau de Jésus Barabbas (LIBERATEUR), le tombeau de Jean le Baptiste (REDEMPTEUR) taisent le secret des Cathares aux Templiers du nord qui sont venus les remplacer et décident de s’en distinguer par le port d’une ROSE devenant les chevaliers à la ROSE CROIX ROUGE, la croix rouge indiquant qu’ils sont templiers. Ces chevaliers sont à l’origine de la Rose+Croix.

QUATORZIEME SIECLE
– En 1307, le roi de France Philippe le Bel qui ignore le GRAND SECRET fait arrêter les Templiers du royaume pour s’emparer de leurs richesses.
Il les fait accuser d’adorer une tête (le Baphomet), de renier le Christ lors de leur initiation (cracher sur la croix, empalement lors de tournois et de pratiques homosexuelles).
Les Templiers arrêtés sont livrés à l’Inquisition et avouent dans leur grande majorité, pour avoir la vie sauve; lorsqu’ils se récusent, ils sont brûlés comme relaps.
A l’étranger, les Templiers ne sont pas arrêtés ni jugés et en Allemagne ils se défendent. En Espagne et au Portugal ils sont indispensables à la RECONQUESTE, et se maintiendront sous un autre nom après la dissolution de l’Ordre en 1312.
PORTUGAL: Ordre du Christ qui succède à l’Ordre du Temple.
ESPAGNE: Ordre de Calatrava fondé en 1164 qui hérite de l’Ordre du Temple.
En Ecosse, des Templiers échappés de France viennent aider Robert Bruce dans sa guerre d’indépendance contre l’Angleterre. Ils seraient à l’origine de la Maçonnerie spéculative.
-Pendant le procès des Templiers, en 1309, Raymond Lulle écrivit:
« Il existe sans doute de nombreux secrets chez les Chrétiens. Parmi eux, il en est un (en particulier) qui représenterait une révélation incroyable, comme celui (que) livrent en ce moment les Templiers (…) Si une telle infamie était rendue publique et manifeste, elle mettrait en danger la barque de Saint Pierre »
– Il fut placé dans l’église Sainte Croix de Rome un titulus codé (les textes en latin et grec sont écrits de droite à gauche) indiquant que le Christ était VIVANT. Nous retrouvons ici la notion d’INVERSION
– Yves de Lessines écrit ce qui sera connu plus tard comme les « CENTURIES ».
– Dante (1265- 1321) écrit dans « LA DIVINE COMEDIE » que le Christ est romain…S’agit-il d’une allusion à la filiation apostolique ?
– Le 17 Janvier 1382 Nicolas Flamel réalise le « Grand Œuvre »…
– Certains auteurs font remonter la naissance de Christian Rosenkreutz au 13 ou 14 ème siècle…

QUINZIEME SIECLE
– Léonard de Vinci (1452-1519) cache le GRAND SECRET dans ses peintures.
 » La Cène «  célèbre fresque murale livre le secret du 13ème homme (les 2 Jean) et des 2 MESSIES, désignant Jean le Baptiste comme le crucifié.
Le peintre récidive dans sa lecture du Nouveau Testament dans son tableau « La vierge aux rochers » qui montre les 2 Jésus…
Le « Saint Jean Baptiste » ramené en France montre un Saint Jean lumineux sur fond sombre, parfaite illustration du Codex Bezae (Luc) qui le désigne comme la « lumière »…
– Albrecht DURER (1471-1528) cache le GRAND SECRET dans l’une de ses gravures (une Cène); il montre le 13ème homme et désigne l’emplacement du tombeau du Christ Barabbas, sous le mont Cardou…

SEIZIEME SIECLE
– Paracelse (1493- 1541) est cité dans la « FAMA FRATERNITATIS » comme un ami des R+C.
La mystérieuse inscription gravée sur le pommeau de son épée AZOTH signifie Jésus Aleth.
– Nostradamus (1503-1586) auteur des Centuries ne serait qu’un plagiaire selon le philologue belge Rudy Cambier dans son livre « Le dernier templier »; il aurait recopié l’oeuvre d’un moine du quatorzième siècle qui aurait caché dans ses quatrains l’emplacement du trésor de l’Ordre du Temple qui se trouverait en Belgique, en Wallonie (3 niveaux de lecture).
Nostradamus qui a inséré de 60 à 80 quatrains de son cru (selon Mr Cambier) y a crypté le GRAND SECRET caché dans le Razès.
– Dans l’une de ses crucifixions, le peintre Rubens insère un N inversé…

DIX SEPTIEME SIECLE
C’est le grand siècle, celui de la floraison…
– En 1604-1605 Mr Depaul disparait mystérieusement enlevé près de « Marseille » selon la lettre à Mr de Comet et réapparait près d’un an après, affirmant qu’il a été enlevé en Barbarie. Il revient subitement très riche affirmant qu’on lui a appris à fabriquer de l’or. En réalité il se trouvait près de l’abbaye de Marceille et a découvert un immense trésor…
– En 1614 parait le premier de 3 « manifestes » R+C., « La Fama Fraternitatis ».
Ce texte parle pour la première fois de Christian Rosenkreutz (le REDEMPTEUR) dont le tombeau doit être ouvert tous les 108 ans et de la possession d’un immense trésor qui servira à un élu pour fonder son royaume.
Il fait également état de merveilles technologiques dont on retrouvera le thème dans la « Nouvelle Atlantide » de Francis Bacon.
– En 1637 Nicolas Pavillon est nommé Evêque d’Aleth; il voulait refuser le plus pauvre évêché de France puis se ravise en disant qu’il n’en veut aucun autre et que s’il le faut il s’y rendra à pieds. Il vécut 40 ans à Aleth et se fait enterrer près de son « Dieu ».
– 1638 pour les uns, vers 1650 pour d’autres, Nicolas Poussin peint la deuxième version des « Bergers d’Arcadie » indiquant l’emplacement du tombeau du crucifié.
– En 1646 la reine mère (mère de Louis XIV) pose la première pierre de la nouvelle église Saint Sulpice (anagramme SUPPLICE) dont l’axe est décalé de 17° de l’ancien…
Cette église est située à quelques centaines de mètres du méridien de l’Observatoire de Paris.
– Publication par les R+C du « livre des figures Hiéroglyphiques » qui contient une soi-disant autobiographie de Nicolas Flamel expliquant comment il a découvert la Pierre Philosophale (en réalité le trésor des Wisigoths récupéré par les templiers)
– En 1655, parution du livre de Pierre Borel alchimiste et médecin de Louis XIV qui signale que le Seigneur de Cabrières serait en possession de « L’Asch Mezareph » livre acquis par Nicolas Flamel et qui lui permit de fabriquer de l’or…
– 1656 Nicolas Fouquet reçoit de son frère qui est à Rome une mystérieuse lettre lui indiquant la possibilité de devenir immensément riche grâce à un secret que détient Poussin.
– 1661 : (5 septembre) arrestation de Nicolas Fouquet par d’Artagnan.
Jean Loret fait état de la découverte d’un trésor dans l’Evêché d’Aleth.
– 1671 : Premiers travaux de relevés du méridien zéro; destiné à mesurer l’origine du temps (fuseaux horaires) il passe à proximité du tombeau du Christ caché sous le mont Cardou qui est à l’origine du christianisme (av ou ap. JC).

– 1677 : Mort de Nicolas Pavillon
– 1678 : Le tombeau du crucifié est déplacé dans le caveau de Serres où il retourne, pour échapper aux recherches trésoraires des gens de Louis XIV.
– 1680 : Mort de Nicolas Fouquet…

DIX HUITIEME SIECLE
– 1781 (soit disant le 17 janvier) mort de Marie de Nègre d’Ablès dame d’Hautpoul de Blanchefort à RLC.

DIX NEUVIEME SIECLE
– 1808 – INGRES (1780-1867) peint « Oedipe résout l’énigme ». Dans ce tableau qu’Ingres a signé avec un N inversé, le spectateur est invité comme le voyageur devant le Sphinx, à résoudre une énigme…
– 1861- DELACROIX termine cette année sa dernière oeuvre maitresse, dans la chapelle des Anges située dans l’église Saint Sulpice. Dans son tryptique « St Michel terrassant le dragon », « Héliodore chassé du Temple » et « Le combat de Jacob avec l’ange », Delacroix indique la nature du trésor et son emplacement…
– 1861-1862 A l’occasion des grands travaux qu’il finance à NDM le chanoine Gasc indique dans le chemin de croix que le roi des juifs n’a pas été crucifié (substitution). La statue de Saint Paul qui fait face à Saint Pierre, sur l’autel est en réalité celle de Saint Luc qui tient son évangile à la main indiquant le verset 1.69 qui précise que le JESUS REDEMPTEUR est Jean le Baptiste.
– Le monument des Bergers de Shugborough en Angleterre indique les emplacements des tombeaux des deux Jésus (Libérateur et Rédempteur).
– 1864 Scrivener édite en cursives le Codex Bézae qui met en évidence plusieurs falsifications apportées par l’Eglise catholique.
– 1872, 1876, 1879 : Le peintre Signol peint 4 tableaux dans le transept de l’église Saint Sulpice (Paris) révélant le secret des 2 Jésus; dans l’un de ses tableaux il inclut un Titulus codé indiquant que le roi des Juifs n’était pas mort sur la croix.
– 1881 Dans son roman « LA JANGADA » dont Jules Verne a indiqué qu’il contenait le secret, le lecteur attentif est amené à faire sa propre enquête et à découvrir l’une des clefs du GRAND SECRET…
– 1885- L’abbé Saunière est nommé à RLC
– 1886 – Publication du livre de l’abbé Boudet « La vraie langue celtique et le Cromleck de Rennes les Bains » dont l’introduction indique qu’il serait lié à la résurrection…
Ce livre qui est crypté (et non pas codé) a plusieurs niveaux de lecture et décrit l’emplacement des tombeaux des 2 Jésus et de biens d’autres choses…
En même temps qu’il écrit son livre, l’abbé Boudet prépare le codage de sa future tombe; les deux ne vont pas l’un sans l’autre…
– 1887 à 1897- Saunière refait la décoration de son église y cachant sa nouvelle lecture de la Bible…et le secret des 2 Jésus.
– 1891- « MISSION 1891 » Saunière y a caché l’une des clefs du secret, au nez et à la barbe de tous…
– 1897- Jules Doinel créateur de l’Eglise gnostique écrit que le Christ n’est pas mort sur la croix; son tombeau est recherché près d’Aleth.

VINGTIEME SIECLE
– 1901 – Georges MONTI devient secrétaire de Joséphin PELADAN.
– 1905- Parution dans le bulletin de la SESA du « pseudo » relevé de l’épitaphe de Marie de Nègre (stèle) qui indique entres autres l’emplacement du tombeau du Christ (Libérateur) et la présence du tombeau de Marie de Béthanie à RLC.
– 1909- Parution de « L’aiguille creuse » best seller de Maurice Leblanc, qui donne les clefs du trésor.
– 1915- Mort de l’abbé Boudet.
– 1917- Mort de l’abbé Saunière.
Le tombeau du crucifié (Jean le Baptiste) retourne au caveau d’Aleth et le chemin de croix de l’église de RLC est modifié pour indiquer l’emplacement.
– 1918- Joséphin PELADAN qui affirmait connaître l’emplacement du tombeau de Jésus (dans le sud ouest) est empoisonné au cours d’un banquet.
– 1934- Georges MONTI fonde l’ordre des Alpha Galates.
– 1946 – Georges MONTI meurt empoisonné.
– 1942 – Pierre PLANTARD à la tête des Alpha Galates.
– 1956 – Pierre PLANTARD fonde un Prieuré de Sion.
– 1967- Parution du best seller « l’or de Rennes », signé Gérard de Sède, dont le véritable auteur est Pierre Plantard.
– 1967- Parution de « CIRCUIT » écrit par Philippe de Cherisey. L’auteur qui livre de nombreuses clefs de décryptage montre dans la couverture qu’il connait la présence du tombeau de l’épée (Christ libérateur) dans le Razès…
– 1992 – Parution du livre de Patrick Ferté  » Arsène Lupin supérieur inconnu et l’oeuvre codée de Maurice Leblanc », clef de lecture indispensable du GRAND SECRET.
– 1997- Découverte des emplacements des secrets d’Aleth (tombeau de Christian Rosenkreutz) et d’Arques (Arche d’Alliance) par Pierre Silvain.
– 1998 – Parution de la première série de 7 livres, collection LE GRAND SECRET.
– 1999 – Parution du tome 6, « MISSION 1999 » qui fait allusion à la mission 1891 de Saunière et à l’ouverture du tombeau de Christian Rosenkreutz qui doit avoir lieu tous les 108 ans (1891 + 108 = 1999)
– Parution le 13 octobre de « JESUS CHRIST BAR-ABA » tome 1
– 2000 – 2 mai, parution du tome 2 de « JESUS CHRIST BAR-ABA »
– Juillet 2000 – Inauguration de la méridienne verte chevauchant l’ancien méridien zéro, mais dont la borne la plus proche du menhir passe mystérieusement sur le pont de Serres, EXACTEMENT sur le méridien du tombeau du Christ caché sous le mont Cardou et qui est le véritable méridien des origines (du Christianisme).
2001 – Pierre Silvain est victime à son tour d’une tentative d’empoisonnement …

Le Messianisme juif et l’ésotérisme chrétien ont trouvé dans la Nouvelle Jérusalem le creuset où vont converger tous les trésors spirituels et monétaires de l’Occident dans l’attente du retour du Messie et de l’instauration d’un nouvel âge d’or.
« J’exulterai au sujet de Jérusalem et je serai dans l’allégresse au sujet de mon peuple. On n’y entendra plus la voix des pleurs ni la voix des cris. Il n’y aura plus là de nourrisson vivant quelques jours, ni de vieillard qui n’accomplisse pas ses jours, car le plus jeune mourra âgé de cent ans et celui qui ne parviendra pas à l’âge de cent ans aura été maudit. Ils bâtiront des maisons et y habiteront ; ils planteront des vignes et mangeront leurs fruits. Ils ne bâtiront plus pour qu’un autre habite, ils ne planteront plus pour qu’un autre mange, car les jours de mon peuple seront comme les jours d’un arbre et mes élus useront ce que leurs mains auront fabriqué. Ils ne peineront plus pour du néant et n’auront plus des enfants pour l’épouvante, mais ils seront une race de bénis de Iahvé et leurs rejetons le seront avec eux. »
Isaïe, ch LXV, v 19 à 23 » — Ancien Testament (Bibliothèque de la Pléïade – Gallimard 1959)

Contact

me contacter via le formulaire

diam et, suscipit Nullam dictum ut dolor. leo.