Les correspondances
lettres expédiées
1. Lettre au Ministère de la Culture,17 janvier 1999.
Le 17 janvier 1999
P. SILVAIN
Résidence Le Lancier
13009 MARSEILLE
Copie à Mr le Premier Ministre
Copie à Mr le Président de la République
Lettre recommandée A.R.
LETTRE OUVERTE A MADAME TRAUTMANN
MINISTRE DE LA CULTURE
Madame,
J’ai le regret de vous faire remarquer que vous n’avez pas donné suite à mon courrier du 1er décembre 1998, vous informant de la localisation du caveau abritant le St Sépulcre, à Alet-les-Bains (Aude).
Comment faut-il donc faire pour attirer votre attention sur l’événement le plus extraordinaire de notre époque, et qui, je m’en rends parfaitement compte, est « Incroyable » ?
Comment se fait-il que la découverte archéologique la plus importante qui ait jamais eu lieu en Occident (Queste du Graal), celle du trésor que l’Occident a recherché pendant des siècles, ne suscite aucune réaction de vos services, alors que quelques machoires paléolithiques exhumées par des ouvriers du BTP font l’événement ?
Prenez-vous l’exacte mesure du scandale que va susciter votre passivité ? Vous rendez-vous compte du ridicule et de l’oppobre qui pourraient vous frapper personnellement, et ternir l’image de la France ?
C’est à un Ministre « responsable » que j’ai écrit, et votre silence vous condamne sans appel, car vous ne faites pas votre « travail ».
La « charge » qui est la vôtre, vous interdit de faire passer vos convictions religieuses ou vos états d’âmes, avant le bien de l’Etat et l’enrichissement culturel de l’Humanité.
Je suis parfaitement sain de corps et d’esprit, de formation scientifique (Bac + 10), et j’apporte la démonstration de mes découvertes, à la fois théoriques et pratiques.
Ceci est ma dernière démarche officielle, et le commencement de mon action, car :
« Chacun sera jugé selon ses oeuvres ».
Je vous prie d’agréer, Madame le Ministre, l’expression de ma haute considération et de mes sentiments les plus respectueux.
PS : faute de réponse et mesures satisfaisantes d’ici la fin janvier, j’ai le regret de vous informer que j’avertirai la Presse.
2. Communiqué du 13 octobre 1999.
Extrait de « MISSION 1999 » p.66
COMMUNIQUE
Au petit matin du vingt-deuxième jour du septième mois de l’An de grâce 1307, (soit le 13 octobre) et dans toute la France, les soldats du Roi de France Philippe le Bel arrêtèrent les Templiers du Royaume.
Ce jour-là, une grande espérance, celle d’un monde nouveau rassemblant politiquement les Chrétiens, puis les unissant aux deux autres religions du Livre (Judaïsme et Islam), dans un oecuménisme débarrassé des scories de l’obscurantisme, a avorté, avant même d’avoir été proclamée.
Les ambitions prévaricatrices d’un roi ruiné, et la trahison d’un Pape arriviste et débauché, allaient priver le Monde des bienfaits médicaux, scientifiques et techniques, résultant de la redécouverte de la Tradition Primordiale ; des « trésors » furent cachés à l’abri de l’Inquisition*, repoussant de plusieurs siècles le retour à un véritable humanisme et la renaissance de l’Age d’Or espéré et pressenti par les esprits les plus clairvoyants.
Aujourd’hui, parce que le temps est arrivé, j’ai le devoir, mais aussi l’immense privilège, de remplir la première partie de ma Mission, qui est de Révéler l’existence et l’emplacement du Tombeau de Jésus-Christ.
Ce que deux « croisades contre la vérité** » menées en Pays chrétien n’avaient pu obtenir, malgré l’anéantissement du Royaume wisigoth (507) et la dévastation de l’Occitanie (1209), une République laïque, décadente et sceptique, l’a offert…
Le Tombeau si longtemps cherché, perdu et retrouvé, se trouve-t-il encore, neuf mois après que j’en ai informé les plus hautes autorités de l’Etat, à l’endroit où l’avait découvert l’abbé Saunière ?
« MARS-SIL », le 13 octobre 1999
Le temps ne pardonne pas à ceux qui trahissent l’Esprit.
* Le « Collège invisible », le demeura jusqu’à ce que les savants obtiennent la respectabilité, c’est à dire jusqu’à la création de la « Royal Society » par le Roi d’Angleterre Charles II, au début des années 1660.
** « La Vérité » se dit Aletheia en grec, à rapprocher du nom d’Aleth…
3. Lettre ouverte au Président de la République, 22 juillet 2001
Le 22 juillet 2001
Mr le Président de la République
Mr le Premier Ministre
LETTRE OUVERTE
La Presse écrit que votre principale préoccupation est une élection , mais il y a mille fois plus important et urgent.
– Il y a deux ans , je vous ai informé par LRAR (après le silence méprisant de madame Trauttman) de la découverte à Alet-les-Bains (Aude) du Tombeau du Christ, découverte à première vue incroyable , et explosive car elle remet en cause le Christianisme !
Vous n’avez RIEN fait , votre passivité (site non gardé) laissant le champ libre aux limiers du Vatican qui depuis vingt siècles – croisade contre les Wisigoths par Clovis en 507, puis contre les Cathares en 1209 – traquent cette PREUVE du MENSONGE.
– Je vous informe cette année 2001 de la découverte à quelques kilomètres de là, de l’Arche d’Alliance des Hébreux et du plus fantastique trésor accumulé ( grappé selon Nostradamus ) depuis des siècles, je veux dire celui de Jésus que personne n’a jamais soupçonné (et qui est celui décrit dans le rouleau de cuivre de Qmran), celui du Temple de Salomon détruit lors de la chute de Jérusalem en +70 (pris à Rome en 410), et d’Alaric 1er roi Wisigoth ayant pillé la Grèce puis Rome.
– L’existence de ces trois dépots est le « Grand Secret » trouvé puis gardé par les Templiers (dont voulut s’emparer Philippe le Bel) , le secret de « L’Aiguille creuse » célèbre roman de Maurice Leblanc , mais surtout celui connu sous le nom de fortune des rois de France , dont parle André Castellot ; j’en suis l’héritier et unique dépositaire , l’ayant reçu dans des circonstances EXTRAORDINAIRES.
Vous etes , encore cette fois , libres de ne pas me croire et de ne rien faire :
+ Pour ce qui est du Tombeau du Christ , ( « PREMIERE REVELATION »), il est trop tard pour vous : vous passerez devant le « Tribunal de l’Histoire » et votre nom sera honni jusqu’à la fin des Temps.
+ Pour ce qui est de l’Arche d’Alliance (« DEUXIEME REVELATION »), si vous décidez cette fois encore de rester sourds à mes appels , vous commettrez un délit de haute trahison , car cela équivaudrait à livrer à ( ? ) une puissance étrangère une arme absolue lui permettant de dominer le Monde ( souvenez-vous des recherches des Nazis , et des émeutes sanglantes chaque fois que les Israéliens font des fouilles sous l’ancien Temple )…
Vous avez toujours le choix de mépriser mes écrits ou bien de faire un pari (assurance) pascalien en les faisant vérifier par tous les spécialistes (des vrais) que vous voudrez , avant de me confronter avec eux.
J’attends cette fois une réponse , car le temps presse…
P.S
4. Lettre ouverte à Monsieur Sarkosy, 20 novembre 2004
Mr TRUFFIER Sylvain
Château de Cabrières
12520 COMPEYRE
Le 20.11.04
Monsieur Nicolas SARKOSY
Ministre d’Etat
Bercy
LR.AR.(2 pages).
Monsieur le Président,
Ce n’est pas au prochain président de l’U.M.P. que je m’adresse ainsi, mais au futur Président de la République, que vous pourriez irrésistiblement devenir, si vous avez la clairvoyance d’accepter ma proposition.
La destinée a fait de moi le dépositaire des clefs d’un immense coffre fort naturel, situé dans l’Aude, à proximité du village d’Arques. Ce trésor, attesté par l’Histoire (dont l’or de Delphes ramené par Brennus), cité par Pline , Strabon, Justin, et bon nombre d’auteurs anciens, a été arraché il y a près de 2000 ans, au lac votif de Tolosa (ancien nom de Toulouse) par le proconsul Caepio, et récupéré dans une embuscade tendue par les Tectosages, alors qu’il faisait route vers Rome. Depuis, plus personne n’en a entendu parler…
Votre image est celle d’un homme compétent, efficace et ambitieux, il lui manque encore les qualités du cœur (dévouement) et celles d’un homme d’Etat, telles que le courage et la rapidité de décision.
– Je désire dans cette affaire, être reconnu (ainsi que je l’affirme depuis 7 ans déjà) comme l’inventeur de ce trésor (qui est dans un lieu public) et l’unique interlocuteur de l’Etat français, représenté par vous-même, en tant que ministre d’Etat, de l’Economie, des Finances et de l’Industrie.
– Je désire qu’un partage de ce trésor (qui est immense) soit conclu sur une base paritaire, la part de l’Etat français devant être affectée, non pas à la réduction de la dette publique (colossale), mais à la suppression de l’I.R.P.P. (personnes physiques) en deux ans, seul moyen efficace, à mes yeux, de relancer la croissance.
– Je désire que la part me revenant (après évaluation d’experts) exonérée de tout impôt (ex ; I.S.F.) , soit versée à une E.U.R.L. à constituer entre mes mains et destinée, non pas à la satisfaction de désirs personnels, mais à des œuvres d’intérêt général.
Je sais bien que vous allez « regarder dans mon assiette » ! Ce serait beaucoup penserez-vous, pour un inconnu, mais il s’agit d’un inconnu qui l’a reçu du ciel.
Si nous regardions dans votre assiette (d’impôts), l’Etat français a l’opportunité inattendue, d’encaisser en une seule fois, bien plus que ne lui ont rapporté dans l’année, l’ensemble des privatisations, et vous-même, de gagner un prestige inégalable, dans la classe politique…
Un dicton, ne rappelle-t-il pas que si l’on peut s’accommoder de vivre avec des remords, on n’accepte jamais de vivre avec des regrets ?
La France, et vous-même par ricochet, avez tout à gagner et rien à perdre, à accepter ma proposition. Je conçois bien, cependant, que par prudence et par crainte du ridicule, vous ne désiriez pas tomber dans une grotesque provocation…
Aussi, j’accepterai la confirmation écrite de votre accord ministériel, quand bien même il ne viendrait qu’après la mise à jour du trésor, dont la Presse sera mon témoin.
Je vous prie d’agréer, monsieur le Ministre d’Etat, l’assurance de ma plus grande considération.